vendredi 14 mars 2014

Caius Plinius Caecilius

 Caius Plinius Caecilius


I - SA VIE EN QUELQUES MOTS

II - MARQUE A VIE PAR LA CATASTROPHE « INTERVIEW »

III - UNE LOURDE PERTE (SON ONCLE) COMMENT, POURQUOI


IV - SA BRILLANTE CARRIÈRE PROFESSIONNELLE



  I- SA VIE EN QUELQUES MOTS



Caius Plinius Caecilius (son vrai nom) a vu le jour en 61  et s'est éteint en 114. C'est Côme, une ville du nord de l'Italie qui le vit naître. Son oncle, Pline l'Ancien, était aussi son père adoptif. Lorsqu'il eut 18 ans, il fut successivement Sénateur, Questeur, Tribun du peuple et Consul. On dit qu'il entreprit le « Cursus Honorum ». Pline s'inspirait de Cicéron pour écrire ses très nombreuses poésies, lettres, ainsi que le fameux Panégyrique de Trajan. On peut citer dans ses connaissances Tacite et Suétone.

Il y a un faible nombre d’écrits de Pline conservés, seuls sont parvenues quelques-unes de ses lettres et le fameux Panégyrique de Trajan
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II - Marqué à la vie par la catastrophe « Interview


Nous avons écrit cette partie de l’article sous forme d’interview entre les membres de la rédaction (représentés par Monsieur (M.) et Pline le jeune (PJ).



M. - Aujourd’hui nous revenons pour parler de la catastrophe volcanique du 24 août 79. Nous avons invité une des personnes les mieux placées Caius Plinius pour nous éclairer. Ave Pline !



PJ - Bonjour, je suis heureux d’être ici pour vous parler de ce que j’ai vécu mais triste également quand je me remémore la tragédie qu’a constitué cette éruption.


M. – Très bien, commençons si vous le voulez bien. Pouvez-vous nous indiquer le moment exact de l’éruption ?

PJ – Je puis juste vous dire que le 24 Août 79 vers la ‘septième heure’ après le lever du jour est apparu au-dessus du Vésuve ( je ne le savais pas encore) une énorme colonne de fumée.

MR – A partir de là que s’est-il passé ?

PJ – Au bout d’environ sept heures il n’y a eu que des chutes de pierres ponces, des rejets de gaz. On a ressenti de très nombreuses secousses durant la nuit ; les coulées de lave étaient déjà apparues.
Le lendemain les coulées de lave se faisaient de plus en plus nombreuses, nous étions effrayés. A cause de l’insistance d’un de mes amis, je me suis résolu à quitter la ville avec ma mère, la mer se résorbait. L’obscurité progressait et les bâtiments menaçaient de s'écrouler, je crois que c’est à cause de tous ces étranges phénomènes que j’ai quitté la ville. Je suis revenu dans la soirée et vu avec stupeur qu’une couche d’une 15 décimètres recouvrait les sols de la ville. Il y temps encore quelques secousses mais l’éruption était finie.

M. - Quelle impressionnante histoire ! Nous vous remercions beaucoup d’avoir répondu à nos questions.

PJ – Bon c’est moi qui vous remercie.



Nous avons adopté le texte pour écrire cette interview, Pline ne relate point tout ceci.






III – UNE LOURDE PERTE




Cette catastrophe comme nous le savons tous n’épargne ni hommes, ni animaux, ni biens présents à Pompéi et dans les très proches environs. Mais parlons d’une lourde perte de cette catastrophe occasionna pour Pline le Jeune : son oncle, et père adoptif, Pline Acier perdit la vie ors de l’éruption du Vésuve « Mais comment puisque Misène ne fut point touchée ? » Vous demandez-vous ? Eh bien voilà. Après avoir aperçu en forme d’arbre (phénomène assez étrange, je vous l’accorde) Pline Acier pensa qu’il serait bon d’étudier ce phénomène de plus près. Il prit la nec en tête d’un petit équipage, en direction plus il s’approchait, plus l’air se densifiait et plus il était chargé de cendres débris. Pline Ancien mourut dans son sommeil étouffé par une vapeur épaisse et se sa trachée fermée… On le retrouva sans vie pour le plus grand désespoir de Pline le Jeune le 3ème jour de l’éruption.
Pline le Jeune, lettre, VI, 16
[copié collé de???]

IV – UNE BRILLANTE CARRIÈRE

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Il suivit les leçons de Quintilien (orateur célèbre), fit ses études au barreau (à l’âge de 19 ans). Suivant la carrière des honneurs, il fut successivement questeur (90), tribun (91) préteur cursus honorum (96) préfet du trésor de saturne, consul (100) augure (vers 102). Mais Pline était par dessus tout un homme de lettres. Il abandonnait dès qu’il le pouvait les affaires de Rome pour aller chercher le repos et le bonheur de l’étude. Il était très généreux entre autres il fonda des écoles dans sa ville natale. Il était humain avec ses esclaves contrairement à certains maîtres. La gloire de Pline le jeune tient surtout dans ses lettres ou il explique l’éruption du Vésuve.

Armandine

Adéola

Kolawolé




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